Organes: Tumeurs solides,Ovaire
Essai clos aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CLTT462X2101 : Etude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance du LTT462 chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé avec altérations de la voie MAPK. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Une tumeur solide est une grosseur plus ou moins volumineuse due à une multiplication excessive de cellules, cancéreuses ou non. Les tumeurs solides cancéreuses, comme les carcinomes ou les sarcomes, repérables par un amas de cellules localisé, se distinguent des cancers des cellules sanguines, comme les leucémies, dont les cellules cancéreuses circulant dans le sang ou la lymphe et sont dispersées dans l'organisme. La majorité des cancers sont des tumeurs solides. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. La chirurgie reste le traitement principal traitement des tumeurs cancéreuses dites solides. Aujourd'hui, elle peut être utilisée seule ou en combinaison avec d'autres traitements comme la chimiothérapie et plus précisément la thérapie ciblée. La voie MAPK/ERK est très active dans de nombreux types de cellules tumorales et joue un rôle clé dans la prolifération, la croissance et la survie des cellules tumorales. Le LTT462 est un inhibiteur de ERK, en se liant à cette protéine il empêche l'activation des voies de transduction du signal médiées par celle-ci. Il en résulte une inhibition de la prolifération et de la survie des cellules tumorales dépendantes de ERK. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité du LTT462IV chez des patients ayant des tumeurs solides de stade avancé avec altérations de la voie MAPK. L’étude se déroulera en 2 étapes. Durant la 1ère étape, les patients recevront du LTT462IV à des doses régulièrement augmentées afin de déterminer la dose la mieux adaptée pour l’étape 1B. Le traitement sera répété tous les 28 jours en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Durant la 2e étape, les patients recevront du LTT462 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1ère étape. Le traitement sera répété tous les 28 jours en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 1 an après le début de l’étude.

Essai clos aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 4 ans

Étude INCB-62079-101 : étude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance de l’INCB062079 chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire, un cholangiocarcinome, un cancer de l’oesophage, un cancer du nasopharynx, un cancer séreux de l’ovaire ou autres tumeurs solides. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif, comme par exemple le cancer des os. L’INCB062079 est une nouvelle molécule inhibant des facteurs qui stimulent la prolifération tumorale et qui sont plus abondants dans certaines tumeurs. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance de l’INCB062079 chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire, un cholangiocarcinome, un cancer de l’oesophage, un cancer du nasopharynx, un cancer séreux de l’ovaire ou autres tumeurs solides. L’étude sera divisée en 2 parties. Pendant la 1ère partie, les patients recevront de l’INCB062079 en escalade de dose jusqu’à détermination de la dose recommandée, la progression ou intolérance au traitement. La dose de traitement sera progressivement augmentée afin de déterminer la dose recommandée à administrer. Pendant la 2ème partie, les patients seront répartis en 3 groupes selon leur pathologie et recevront de l’INCB062079 à la dose recommandée déterminée lors de la première partie jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 6 mois maximum.

Essai ouvert aux inclusions
Syros Pharmaceuticals MAJ Il y a 4 ans

Étude SY-1365-101 : étude de phase 1 évaluant l’efficacité et la sécurité du SY-1365 chez des patients ayant une tumeur solide avancée. Les tumeurs solides cancéreuses, comme les carcinomes ou les sarcomes, repérables par un amas de cellules localisé, se distinguent des cancers des cellules sanguines, comme les leucémies, dont les cellules cancéreuses circulant dans le sang ou la lymphe sont dispersées dans l'organisme. Elles peuvent envahir les tissus avoisinants, les détruire et aussi se propager (métastases) à d’autres parties du corps. Les cancers de l’ovaire sont classés selon le type de cellules dans lequel le cancer apparaît. Environ 60 % des cancers du sein expriment des récepteurs hormonaux, et sont dits cancers RH-positif, et la surexpression du récepteur HER2 se retrouve dans moins de 20 % des cancers et est moins fréquente dans les cancers RH-positif. Les traitements de référence des tumeurs solides sont la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie, seule ou combiné aux autres traitements. Les cancers du sein ou de l’ovaire réfractaire, avancé ou métastatique nécessitent une prise en charge adaptée notamment par des thérapies ciblées et par l’hormonothérapie puisque des récepteurs d’hormones spécifiques nécessaires à la croissance cellulaire se trouvent à la surface de certaines cellules tumorales. Le SY-1365 est un inhibiteur sélectif de CDK7 qui joue un rôle clé dans la prolifération cellulaire. Il a démontré une activité antitumorale robuste, en empêchant la croissance cellulaire des cellules tumorales. Le carboplatine est une chimiothérapie à base de platine utilisée en traitement de 1re intention et comme traitement palliatif pour les maladies réapparues après une chimiothérapie antérieure. Le fulvestrant est une hormonothérapie qui agit en arrêtant la production d’hormones, en bloquant les récepteurs hormonaux ou en se substituant à des agents chimiquement similaires à l'hormone active, que la cellule tumorale ne peut pas utiliser. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité du SY-1365 chez des patients ayant une tumeur solide avancée. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1ère étape, la dose de SY-1365 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée pour la 2e étape. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème étape, les patients seront répartis en 5 groupes selon leur type de cancer. Les patients du groupe 1, du groupe 3 et du groupe 4 recevront du SY-1365 seul à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1ère étape. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du SY-1365 à une dose inférieure à la dose recommandée établie lors de la 1re étape, 1 fois par semaine pendant 2 semaines, associé à du carboplatine toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines, en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 5ème groupe recevront du SY-1365 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1re étape, associé à du fulvestrant administré toutes les 2 semaines pendant le premier mois puis une fois par mois. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines, en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus tous les 2 mois pendant la 1re année, puis tous les 3 mois. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 1 an après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions